Compte-rendu de la quinzième balade d'Automne
Sans possibilité d’apprivoiser ce satané virus, nous voici encore masqués
et à distance respectable les uns des autres.
Mais malgré tout, nous sommes réunis ce dimanche 18 octobre grâce à la magie de
nos « anciennes » et à l’invitation de Daniel Mohr.
La fontaine de Warnant, Ste Adèle et la source guérisseuse des maladies
oculaires font l’objet d’une fervente piété depuis la fin du Moyen Age.
Voilà une belle adresse pour le départ d’une balade où les yeux vont nous
permettre d’apprécier la belle saison automnale et ses couleurs chatoyantes.
Toutes et tous allons succomber au péché d’un apéro anisé ou fruité, préparé
avec l’eau de la fontaine d’Adèle !
Une trentaine de belles voitures de notre club et du Club Smart prennent la
route.
Après un passage à côté de l’escargotière de Warnant, elles vont prendre
un réel plaisir à remonter la belle vallée de la Molignée par une route
sinueuse.
Après les draisines, site fréquenté en cette matinée assez clémente au point de
vue météo, nous arrivons sur le parking de l’abbaye de Maredsous.
Les belles allées d’arbres jonchées de feuilles offrent le gîte à nos “belles” et la brasserie St Joseph propose le couvert aux estomacs de leurs propriétaires.
Nous quittons ce lieu de recueillement pour en longer un autre, l’abbaye de Maredret, avant de traverser de très ravissants villages aux maisons de pierre.
Le village de St Gérard est dominé par l’abbaye de Brogne, très austère dans ce paysage champêtre où les travaux agricoles de fin de saison battent leur plein.
Nous traversons Fosses la Ville, cité de l’Entre Sambre et Meuse, bien connue pour son folklore, mais pas de “chinels” dans les rues ce dimanche.
Nous passons furtivement devant un curieux “magasin de tabourets” signalé avec humour dans le road book par Daniel et arrivons à Bovesse au Domaine viticole du Ry d’Argent.
Installé sur un superbe coteau sud dans la campagne namuroise, ce domaine est le résultat d’une reconversion d’activité agricole familiale.
Depuis 2005, Jean-François Baele, alliant jeunesse et dynamisme, travaille actuellement sur plus de 13 ha de vignes plantés sur 4 terroirs: Bovesse, Orbais, Fallais et Ronchinne.
Grâce à du matériel performant, il élabore des vins tranquilles et effervescents et propose une gamme de produits très diversifiée.
La visite du chai est très intéressante. Nous y voyons les cuves de fermentation en inox, les barriques de chêne, l’équipement pour la vinification en méthode traditionnelle et une installation ultra moderne pour l’embouteillage.
Une visite, c’est bien, mais une dégustation ajoute un plus.
Alors, “santé” à tous les heureux participants !
Nous avons toutes et tous apprécié cette belle organisation mise sur pied par Daniel dans ces moments difficiles.
Nicolas, nouveau membre du Comité de l’ARM ainsi que tous les participants le félicitent et lui disent merci pour ce beau dimanche d’automne.
Les scribes du jour,
QUINZIÈME BALADE D’AUTOMNE
Malgré une année difficile à cause du « covid » , notre Président-organisateur a joué du miracle.
Non seulement il a choisi la plus belle journée d’octobre, pour rassembler bon nombre de ses fidèles.
Les Smart(s) et les voitures anciennes ont répondu présent.
Il a changé l’eau en vin sur une seule journée.
A commencer par l’accueil à la « Fontaine sainte Adèle » de Warnant où l’eau fraîche et pure coule volontiers sur un fond de menthe ou de Pastis.
Malgré les masques, chacun se coude sur le coude, dans le bonheur des retrouvailles.
L’organisateur rassemble ses ouailles pour une courte balade vers l’Abbaye de Maredsous.
Un repas de dernière scène et une bière des moines continue cette journée « culte ».
Quelques tours de roues sur les campagnes du namurois pour atteindre Bovesse.
C’est là que l’eau se change en vin.
Le « domaine du Ry d’Argent » un vignoble en pleine Hesbaye.
C’est Jean-François « himself », le créateur du vignoble, qui nous conte la vie de ses vins.
La dégustation se fait dans l’ambiance des « noces de cana »
S’il est vrai qu’il n’y a pas de miracle, les participants ont admiré le travail, l’implication et l’application du jeune vigneron ainsi que la qualité de ses produits
Notre région peut en être fière, et notre club peut applaudir notre Saint Président d’avoir changé l’eau du matin en vin du soir.
Un beau quinzième anniversaire de cette balade qui prend de la bouteille. Michel
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Compte-rendu de la balade des rubaniers
Une trentaine de métiers à tisser actionnés par des guides
expérimentés et passionnés, voilà une belle façon de redonner vie à de belles
mécaniques ! Le musée rend ainsi un bel hommage aux techniques, aux
outils, aux produits tissés mais aussi à la mémoire des hommes qui, depuis plus
de 850 ans, ouvriers, artisans comme patrons, ont conféré à Comines ses galons
de capitale mondiale du ruban utilitaire.
De la pièce décorative à la fermeture à glissière, en passant par le lacet de
chaussure, les étiquettes pour grandes marques mais aussi les rubans techniques
contemporains (ceinture de sécurité, élingues, tissus médicaux…), découvrez
comment le ruban, qu’il soit réalisé selon le procédé traditionnel, au jacquard
ou par tressage, fait partie intégrante de la vie de tous les jours !
Une visite destinée à percevoir l’âme du ruban !
Une leçon de vie à partager : le savoir-faire du rubanier, le « Bleu Vinte » ou
de ses apprentis, les « Marmousets » !
Source du site internet.
C’est sur ses terres que Brigitte HAVAUX nous a organisé un dimanche bien plaisant.
Elle nous accueille à l’entrée de la gare de Schaerbeek, au Musée du Train.
Les participants se remplissent les yeux des merveilles mécaniques.
Du sifflet du chef de gare à la plus majestueuse des locomotives, tout ce qui à trait au train s’y trouve.
Le musée est en ce moment enrichi d’une exposition des œuvres de Paul DELVAUX, peintre passionné par le chemin de fer.
Tout y est magnifique et didactique.
On se partage les souvenirs d’enfance, entendant ci et là « ça ne nous rajeunit pas ».
On ne voit pas le temps passer, il est déjà midi.
Le repas est pris au restaurant du musée.
Nous quittons sous la pluie, Brigitte conduit une
partie du groupe vers l’Atomium.
Les photos vont bon train.
On poursuit vers Vilvoorde au Domaine des Trois Fontaines l'un des plus anciens parcs paysagers de la Belgique pour le verre de l’amitié.
Magnifique journée organisée par Brigitte.
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Michel
Salut les Copains, nous rentrons de Londres ! Enfin, à peu près…. On vous explique.
Ce dimanche 19 janvier, Daniel Mohr (après le centenaire Citroën très réussi) invite notre Club ainsi que le Club Smart Fan Fun à la visite de l’expo temporaire SO BRITISH qui ressuscite l’automobile britannique des années 1950 à 1970.
Rendez-vous est pris à l’aire autoroutière d’Aische-en-Refail pour une petite étape avec road book efficace afin de rejoindre le Musée Autoworld.
Chut ! Là nous attend avec impatience une belle anglaise connue de nous tous et trônant parmi une soixantaine de superbes véhicules ! Nous y reviendrons par la suite. Dans un décor exceptionnel, toutes ces voitures anciennes revivent leur charme d’antan dans l’atmosphère si particulière des jolies rues commerçantes aux belles vitrines de Londres; une sorte de diaporama grandeur nature.
Mais commençons par le rez de chaussée où Aston Martin, Bentley, Jaguar, Land Rover, Lotus, McLaren, Mini et Rolls Royce donnent un aperçu de leurs derniers modèles.
Des anciens bolides de course sont présentés devant des stands de circuits sur photos géantes avec de jolies filles en tenue d’époque: Jaguar Type D, Type E low drag, Lola T40, Bentley Speed 8, accompagnées de quelques miniatures.
Nous avons beaucoup apprécié la mise en évidence d’un coupé MGB Jacques Coune, carrossier bruxellois ayant utilisé entre autres des pièces de Renault et de Simca, avec sa ligne de toit parfaitement galbée et sa partie arrière tronquée à la manière des Ferrari et Aston Martin.
Il est déjà midi, l’heure idéale pour un excellent repas servi au resto « Carpe Diem », à quelques enjambées du musée ! Là, les bavardages vont bon train; on parle moteurs, balades….on refait le monde; c’est un beau dimanche entre copains. C’est cela aussi qu’il faudrait davantage encourager, car ne dit-on pas : « Plus on est de fous, plus on rit » ? Alors, dès la prochaine sortie au programme, accompagnez nous en nombre !
Après la « retraversée » digestive du parc, nous nous replongeons Outre-Manche.
A l’étage, tous les ingrédients sont là pour nous immerger dans la capitale du Royaume Uni: Piccadilly Circus, les belles devantures de magasins, les jolies maisons décorées de fleurs, un comptoir de pub, d’anciennes cabines téléphoniques, des passages piétonniers « Look Right », l’ « Underground », la photo de la Reine….
Et au milieu de tout cela, on découvre d’éblouissantes voitures populaires et mythiques (prêtées gracieusement par des musées européens, des collectionneurs privés ou par des particuliers heureux de présenter leur voiture) telles les Austin, Morris, Mini, Triumph, Rover, Ford Anglia (apparaissant dans le premier film d’Harry Potter et fabriquée près de Londres en 1961) …… qui ravivent nos souvenirs de jeunesse ou nous rappellent les petits trésors personnels blottis dans nos garages.
Et parmi toutes ces merveilles, la superbe Rover P4 100, propriété de Georges et Anne-Marie, fait très bonne impression !
Le cabriolet Triumph Roadster dévoile sa particularité, avec ses strapontins dans le coffre. Toutes ces beautés sont admirées pour leur habitacle tendu de cuir et paré de boiserie du plus bel effet.
Des motos de légende: Brough Superior, Norton, Royal Enfield, Triumph, Velocette, Vincent… ont aussi leur place dans l’expo, prêtes pour découvrir la belle campagne anglaise.
Après la seconde guerre mondiale, l’industrie automobile britannique s’est orientée vers le marché américain avec des roadsters comme la MG, la Daimler, l’AC ou la Morgan. Dans cette mise en scène d’un Londres reconstitué, les curieux observent aussi des autos fabriquées par de petits artisans britanniques: Jensen, Bristol, Marcos ou Jowett.
Les « Supercars » sont installées dans une galerie écrin et brillent sous les feux des projecteurs: une McLaren F1 de 1992 et sa descendante, la Senna, puis une Jaguar XJ 220 de 1993, une Jaguar F-Type Project 7 et une Bentley Continental GT3R .
Sans devoir traverser la Manche, nous avons fait une très belle escapade « British ».
Merci à Daniel pour son organisation.
Jean-Marie et Arlette